Le numérique prend de plus en plus une place incontournable dans le quotidien. Les smartphones, les ordinateurs, les tablettes sont autant d’appareils qu’on laisse facilement connectés à longueur de journée. Face à l’expansion de cette digitalisation mobile, la cyberattaque gagne, elle aussi, en ampleur. Une telle croissance des hackers en appelle à plusieurs techniques numériques comme la cyberinvestigation pour préserver ses données en ligne.

La cyberinvestigation et les diverses méthodes de cyberattaque

La cyberattaque prend différentes formes et modes. Elle est particulièrement connue sous les formes de phishing, le ransomware, l’espionnage et le sabotage informatiques. Face à ces différentes attaques, une attitude idéale à avoir est la sécurisation de ses données.

Pour réussir une bonne sécurisation de toutes les données qui sont relatives à la vie privée ou à l’organisation d’une entreprise, certains professionnels comme l’Entreprise Erium proposent la cyberinvestigation comme méthode d’anticipation sur les attaques des hackers. La cyberinvestigation est une branche de la cybersécurité qui consiste à collecter des informations sur les malversations numériques des hackers. Elle permet notamment de réunir les preuves d’une malveillance sur un réseau informatique.

La collecte des preuves aboutit à une analyse dont le but est de détecter les sources de la malveillance afin de préserver les victimes et faire respecter leur droit. La cyber investigation a le triple rôle alors de :

• prévenir une attaque ;
• détecter une attaque ;
• et réagir face à une attaque.

La cyberinvestigation : un traquenard contre le hacking

Plusieurs méthodes aident à réagir efficacement contre le hacking numérique, bien que de jour en jour, les agresseurs ne cessent de développer de nouvelles approches toujours plus sophistiquées. La cybersécurité devient, elle aussi, un domaine de rebondissements qui cherche à affiner ses armes vis-à-vis de la menace qui demeure constante. La cyberinvestigation devient, quant à elle, l’un des traquenards assurés de la cyberattaque. En effet, elle permet non seulement de collecter les preuves et de les traiter, mais elle s’intéresse aussi aux motivations des agresseurs et aux méthodes utilisées par ces derniers.

L’intérêt à l’étude des méthodes adoptées par les agresseurs permet d’offrir une contrattaque bien ciblée et efficace. De même, elle accorde à la cybersécurité une longueur d’avance pour développer des solutions sur les possibles attaques et les éventuelles méthodes susceptibles d’être créées par les hackers.

Quant à l’étude de la motivation des hackers, elle aide à comprendre le mobile d’action et à répondre aux questions d’ordre social qui peuvent être les raisons de la malveillance affichée par les agresseurs.

Cyberinvestigation : un secteur d’activité de la cybersécurité ?

La cybersécurité est de plus en plus un secteur incontournable au sein des métiers d’avenir à cause de la croissance et de l’expansion du digital. C’est pour cette raison que la cyber investigation prend toute sa place au cœur des procédés de cybersécurité et des secteurs prometteurs pour l’avenir. Les approches de solutions pertinentes auxquelles l’on aboutit avec la cyber investigation rendent davantage ce procédé indispensable en amont, pendant et en aval d’une cyberattaque. Cette omniprésence la rend très indispensable.

La cyber investigation prend en compte plusieurs domaines, dont le domaine juridique et l’éthique. De fait, elle est un domaine transversal dont les compétences peuvent être très variées. Cela favorise plusieurs angles d’analyse et de traitement des informations relatives aux cyberattaques, notamment le ransomware, phishing, etc.

Au moyen de plusieurs outils comme les indicateurs de performances et le deep learning, l’hygiène numérique et les comportements des hackers en ligne sont évalués. Cette approche approfondie est donc essentiellement un travail basé sur diverses compétences et sur des outils techniques adaptés.

Voilà ! Vous savez désormais comment la cyberinvestigation contribue à atténuer les risques de cyberattaques.